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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 17:25
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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 17:23
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11 juillet 2009 6 11 /07 /juillet /2009 17:21
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9 juillet 2009 4 09 /07 /juillet /2009 14:57

             Quinze jours après la présentation des huit tracés possibles (sept à l'ouest de Mouzillon et Vallet et un passant à l'est) et des contraintes inhérentes, le Département a de nouveau rencontré les élus et les associations mobilisées sur le projet de liaison Clisson-Ancenis. Au Champilambart à Vallet. La rencontre n'a pas débouché sur grand-chose. Chaque association ayant campé sur ses positions. A commencer par l'ASIM et l'ADVE. Pour les deux associations, il n'est pas question d'analyser les propositions tant que le problème de fond subsiste. Celui de la vocation de la future route.


               Entre le conseil général et les deux présidents, la divergence est profonde. A la fonction de "transit du territoire" développée par le Département, Lucien Blanchet et Alain Esseau, directive territoriale d'aménagement à l'appui (Ndlr : document approuvé par le conseil général), opposent la notion de "super périphérique nantais" et de route destinée "à devenir l'itinéraire du carrefour des estuaires".


              Autre écueil : l'INAO. "Cette analyse des tracés a été faite sans contact avec les organisations viticoles. Comment peut-on définir un tracé alors que l'Inao s'y oppose ? ", a lâché Jean Babonneau, membre de l'ASIM.


             Faux, a rétorqué Bernard Deniaud. "Nous avons eu de nombreux contacts et nous sommes allés sur le terrain avec eux".Quant à l'opposition "le législateur a prévu la possibilité d'y déroger par le ministère de l'Agriculture", a rappelé le vice-président du Département. "Nous reprendrons le travail avec l'Inao quand un fuseau sera choisi", a-t-il conclu.


L'ADPQW pour l'est


              Pour l'ACVU, l'ADUR, l'OPITO et l'OTOV, les résultats de l'élargissement d'étude montrent "qu'au regard des contraintes, aucun critère environnemental ne justifie un passage à l'ouest, où trop de riverains sont pénalisés". L'OPITO, par la voix de la présidente, Nathalie Lusseau, souhaite aussi "que les communes non traversées par les fuseaux n'interviennent pas dans la prise de décision finale, celles-ci n'étant intéressées que par l'aspect économique, les critères humains et environnementaux ne les concernant pas".


              Seul Christian Roze, président de l'association de défense et protection de la qualité de vie à Vallet (ADPQVV) s'est positionné clairement pour un tracé. "Nous écartons les sept tracés Ouest. Le tracé Est est le moins mauvais", a annoncé le Valletais.


               La concertation se poursuit. Et va même s'élargir à la population. A compter du 24 août, expositions publiques et permanences seront tenue dans les communes concernées.


L'Hebdo 09.07.09

 

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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 07:50

De deux, le projet de liaison entre Ancenis-Clisson est passé à huit tracés possibles. Les itinéraires ont été présentés, la semaine dernière, aux élus locaux et aux associations. Ces derniers ont une semaine pour faire des propositions et des remarques. Un prochain rendez-vous est fixé le 1er juillet

 

Il reste sept jours aux associations pour faire des propositions et des remarques au conseil général. Mercredi 18 juin, la carte du périmètre d'étude du projet de liaison structurante entre Ancenis et Clisson a été remise aux élus concernés et aux associations.

Surprise. Ce ne sont plus deux mais huit fuseaux qui partent du Fief Bignon à Clisson et rejoignent la D 221 entre Vallet et La Regrippière à la limite du Maine-et-Loire. Sept sont positionnés à l'ouest de Vallet dont l'ancien tracé proche de la capitale du muscadet. Et un, déjà connu, à l'est. En octobre 2009, date de l'assemblée départementale, il n'en restera plus qu'un. Le conseil général tranchera. Le Département "aurait pu prendre la décision dès juin", fait remarquer le vice-président en charge du dossier, Bernard Deniaud. Aurait pu ! Car suite à la recommandation de la commission nationale de débat public, la collectivité présidée par Patrick Mareschal a décidé "de prendre le temps" pour "mieux informer la population".

En ce début d'été, la concertation élargie prend donc un nouveau virage (voir encadré).


Trois fois moins de maisons

 

Ces huit tracés découlent de l'étude réalisée par le cabinet SCE. "Ils ne sont pas définitifs. Ils seront à affiner", ont précisé d'emblée les services techniques. Contraintes économiques, environnementales, nuisances pour les habitants, impact sur la vigne, coût, tout a été passé au crible. Et analysé au regard d'une grille. Ces fuseaux qui "peuvent bouger sur cent mètres", a souligné Bernard Deniaud, passe à hauteur de Vallet au niveau de la Blanchetière pour le fuseau le plus  à l'ouest. Et à l'est du château du Cléray pour le tracé Est.

Au regard des contraintes, c'est le tracé Est qui présente, dans l'ensemble, le moins d'inconvénients. Ce fuseau qui passe à l'est du village de Champoinet (Mouzillon) et des Chalousières et Chaboissières à Vallet est le plus court. Il fait 17 km. Pour 22,6 km pour le tracé le plus à l'ouest. C'est aussi le moins cher. Le projet défini pour passer "en 2 X 2 voies si nécessaire" est estimé à 123 millions d'euros. Contre 177 millions d'euros pour le plus long. Côté nuisances, même avantage. "Il y a trois fois moins de maisons à l'est". Au regard des éléments remis, la balle est maintenant dans le camp des associations. Et des élus locaux. "C'est à eux de nous dire sur quels critères et selon quels enjeux il faut privilégier un tracé", rappelle le vice-président en charge des infrastructures routières. "Si on ne positionne pas une voie de déplacement aujourd'hui, dans vingt ans on ne pourra plus le faire compte tenu du mitage", ajoute Bernard Deniaud.


Pas délester le trafic de Nantes

 

Cette route qui doit desservir le territoire est aussi attendu par la population de Mouzillon, Vallet et La Boissière- du-Doré. Actuellement, 12000 véhicules dont 1000 poids lourds traversent le bourg de Mouzillon. Et 9 200 à Vallet. En revanche, elle n'a pas vocation à délester le trafic nantais. Ni d'assurer le transit entre Bordeaux et le nord de l'Europe "et encore moins à desservir le futur aéroport de Notre-Dame-des-Landes", a tenu à rétablir Bernard Deniaud. La preuve que la future route "n'est pas le contournement de Nantes": sur les 88000 véhicules/jour attendus sur le pont de Bellevue en 2025, la liaison structurante soulagerait seulement l'ouvrage d'un millier de véhicules.

Quant à Castel, même réponse du conseil général. Ce dossier "n'a pas été un critère de choix". Côté réactions, la présentation de la carte et de la grille n'a pas suscité beaucoup de commentaires. Le président de l'Otov, Didier Cochelin, a eu la réponse qu'il attendait sur les coefficients de pondération. "Il n'y en aura pas", a affirmé le conseil général. Lucien Blanchet, président de l'Asim, est sorti, quant à lui, de la réunion moins rasséréné. Le doute de voir la route devenir "un super périphérique de Nantes" subsiste.

Prochaine table ronde: le 1er juillet.


Une concertation élargie à la population

 

C'est une première pour le conseil général. Jamais le Département n'avait organisé une telle concertation pour un projet structurant. C'est la commission nationale du débat public qui a recommandé à la collectivité d'élargir l'information au grand public. La démarche a commencé.

Sur le site Internet du conseil général*. Depuis vendredi 19 juin, l'ensemble de la documentation et des études sont consultables. Les habitants peuvent même interroger la collectivité par courriel. Des informations seront également données dans le magazine départemental et dans les bulletins municipaux. La seconde phase, c'est pour le mois d'août. Une plaquette d'information sera éditée et adressée par courrier dans les foyers concernés par le périmètre d'étude. Suivra une exposition. Présentée du 24 août au 14 septembre dans les mairies, elle présentera les huit tracés et les enjeux du projet. Des registres seront à disposition du public. Et des agents tiendront des permanences

"Pour donner des explications techniques". * Toutes les informations sur le site du conseil général: www.cg44.fr (Onglet: Au quotidien - Routes - l'Actu des routes)

 

Loire-Divatte vote à l'ouest

 

Alors que Paul CORBET sent que le tracé Est tient la corde dans la réflexion du choix du tracé de route entre Clisson et Ancenis, le président de la communauté de communes Loire Divatte a fait partager son opinion à son assemblée lors du dernier conseil communautaire (lire page Loire-Divatte), de retour de la réunion au conseil général. "Le tracé Est n'a pas ma préférence. Il servira principalement au Maine-et-Loire et c'est nous qui allons le financer. De plus, il ne dessert aucun pôle secondaire, ce qui était l'objectif de cette liaison", justifie-t-il. Son coût moins élevé (26 millions d'euros) , sa gêne moins importante et sa longueur moindre sont des arguments qu'il nuance. "Il y a moins d'échangeurs donc il est logique qu'il coûte moins cher. De plus son éloignement de Nantes fait que cette route servira beaucoup moins", note le maire du Loroux- Bottereau. Suivi par les élus, il va demander une rencontre avec le conseil général. Si l'intercommunalité tient aussi au tracé Ouest (quelle que soit la variante), le fuseau passerait près de la zone d'activités des Tuileries à La Remaudière. Un parc industriel que les élus souhaitent développer (19 hectares)


L'Hebdo - Hervé PAVAGEAU -  Laurent FORTIN

 

 

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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 07:48

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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 07:37

                     Les présidents des conseils généraux de Loire-Atlantique et du Maine-et-Loire se sont réunis hier à Ancenis pour faire progresser le dossier de grand contournement Est de Nantes. Ce projet routier, à cheval sur les deux départements, vise à offrir aux usagers une solution pour circuler rapidement du nord au sud de la Loire sans emprunter le périphérique Est nantais. Il doit permettre également de « mieux irriguer » les territoires traversés et de « favoriser leur développement économique ».


                    La réalisation d'une centaine de kilomètres de 2 x 2 voies est ainsi envisagée entre Nort-sur-Erdre et Ancenis d'une part, et Ancenis-Vallet-Clisson-Saint-Philbert-de-Grandlieu d'autre part. « Ces nouveaux axes sont nécessaires pour mieux répartir les flux et supporter la hausse du trafic. Ils sont aussi une réponse à l'étalement urbain et aux perspectives de développement », analyse Patrick Mareschal, président PS du conseil général de Loire-Atlantique, qui précise que « la concertation avec les habitants a déjà commencé ».


                   Pour faciliter le franchissement de la Loire à 2 x 2 voies, les deux départements travaillent ensemble à la construction d'un second pont entre Ancenis et Liré. Celui-ci devrait voir le jour légèrement à l'est d'Ancenis, d'ici dix ans minimum. « L'actuel pont est proche de la saturation [13 000 véhicules par jour] et débouche en plein centre-ville, remarque Christophe Béchu, président UMP du conseil général du Maine-et-Loire. Si on ne prépare rien, on sera confronté dans quelques années à un problème insoluble. » Le coût de ce nouvel ouvrage est estimé à 60 millions d'euros.


F. Brenon - ©2007 20 minutes


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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 18:06
Pour rappel, un  article traitant du périphérique nantais, voici un document qui confirme la position du Collectif
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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 17:17

La discussion va maintenant rentrer dans le dur. Mercredi, le conseil général a rencontré élus, et associations pour présenter les différents tracés de la future route Ancenis-Clisson. 

Concertation et transparence. C'est le message que le conseil général a voulu faire passer aux associations et aux élus du Vignoble. Mercredi, en fin d'après-midi, présentation a été faite des différents fuseaux de la future route Ancenis-Clisson. Un tracé à l'Est de Vallet, et sept autres à l'Ouest de Vallet, avec des variantes. Des critères des contraintes (bruit, environnement, viticulture, habitation...) ont été listés et un cabinet a étudié les tracés sous l'angle de ces contraintes. Au final, il en ressort que le tracé Est apparaît comme le moins onéreux (123 millions d'euros contre 177 millions pour le plus cher), le plus court et touchant le moins d'habitations.

 

Maintenant la véritable question demeure : A quels critères donnera-ton le plus de poids ? Bernard Deniaud, vice-président du conseil général, attend du débat public autour de ces tracés « que les arguments des uns et des autres parviennent à nous convaincre. Nous ouvrons une concertation, ce n'est pas pour présenter une solution toute faite. Si un tracé fait davantage l'unanimité, même s'il n'est pas considéré comme étant le meilleur, il pourra être choisi. »

Les réactions. Au sortir de la réunion, Alain Esseau, président de l'ADVE (opposée au tracé Est) était « atterré. Il est clair que ce dossier a été travaillé pour rendre possible un projet. On nous trompe sur les chiffres de circulation, il y a des aberrations. C'est une tromperie : je ne vois aucune concertation dans cette présentation de projet. Nous n'avons même pas eu le temps de parole annoncé. Et que dire sur des critères qui auraient dû être élaborés en commun ? » Du côté des autres associations, opposées au tracé Ouest, comme l'Opito, on note que « le travail présenté recoupe les études qu'on a pu faire de notre côté. »

Tout le monde est concerné. La volonté du conseil général est d'associer toute la population à cette décision. « Dès vendredi, tous les documents remis aux élus et aux associations seront sur le site du conseil général où il sera également possible de nous envoyer des courriels », indique Bernard Deniaud. Une plaquette d'information sera distribuée, en août, dans les boîtes aux lettres des personnes concernées. Une exposition publique sera proposée dans les mairies du 24 août au 15 septembre et des permanences seront tenues par des personnels du conseil général. En septembre, un bilan sera fait de cette concertation et à la session d'octobre, les élus du conseil général voteront sur le choix du tracé. Ce ne sera que le début d'une longue opération qui devrait mettre six à dix ans pour voir le jour, pour cause d'enquêtes publiques, de délais légaux, etc. 

 

En attendant, le prochain rendez-vous est fixé au 1er juillet.

Et donnera l'occasion aux élus et associations de faire connaître leurs positions
respectives

Anne-Lise FLEURY

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20 juin 2009 6 20 /06 /juin /2009 16:54
Six fuseaux de plus à l'ouest

 

 

 

Plus les axes existants sont contraignants (comme ici à Mouzillon) et plus les automobilistes utiliseront la future liaison structurante.

 

 

Élus et associations  ont jusqu'au 1er juillet pour étudier les tracés potentiels. La population sera aussi concertée.

Ils sont six. Six nouveaux fuseaux susceptibles d'accueillir, d'ici 6 à 10 ans, la future liaison routière structurante reliant Ancenis à Clisson. Ces nouvelles options passent toutes dans le grand ouest de Vallet. Là où les élus locaux souhaitaient que le conseil général de Loire-Atlantique élargisse ses études.           
           
             Ils ont maintenant quinze jours pour se pencher sur ces nouveaux fuseaux et les deux tracés « historiques » : le fuseau Est et le fuseau Ouest. À eux de les analyser, de les comparer, avant de faire part de leurs remarques au Conseil général, lors d'une nouvelle rencontre le 1er juillet. Les associations de riverains ont la même mission et le même rendez-vous.

Concertation élargie

            Après, la concertation sur le dossier deviendra plus large, à la demande de la Commission     nationale du débat public. « L'objectif est d'y intégrer l'ensemble de la population », explique Bernard Deniaud, vice-président du Département en charge des voies de communication. Une plaquette d'information grand public sera éditée à la mi-août puis distribuée dans les boîtes aux lettres des foyers concernés. Une exposition présentera les enjeux du projet et les propositions de tracés, du 24 août au 14 septembre, dans les mairies.

« Des permanences du Conseil général et des registres permettront à chacun de s'exprimer », ajoute Bernard Deniaud. Même chose sur le site du Département où les internautes retrouveront, dès demain, les documents et les études.


Castel « déconnecté »

          Ils y découvriront les six nouveaux fuseaux et leurs contraintes. « Sensiblement les mêmes », selon les services du Conseil général. « Déconnecté de la problématique de la desserte Castel », le plus occidental se raccroche à la voie express Nantes-Cholet au niveau de la Blanchetière à Vallet. Puis, comme ses cinq déclinaisons plus à l'est, il serpente à travers le bâti existant pour aboutir sur le contournement de Clisson, au sud du Fief Bignon. C'est le plus long : 22,6 km. Mais aussi le plus coûteux : 177 millions d'euros. En comparaison, le tracé Est et ses 17 km ne représentent « que » 123 millions d'euros.

De quoi faire pencher la balance ? « C'est un élément de la comparaison. Mais ce n'est pas le seul, remarque Bernard Deniaud. L'intérêt de chaque variante dépend de l'importance que l'on donne à chaque critère d'évaluation ».

Compromis

          Alors que veut-on ? Une route captant le plus de circulation de transit possible ? Dérangeant le moins de riverains ? Desservant plus finement les communes traversées ? Un compromis de tout cela en quelque sorte. Pas facile à trouver... Toujours est-il que le Conseil général finira par trancher. « On ne cédera pas à la pression. Cette route est trop importante pour l'organisation du territoire et la sécurité de la traversée de Mouzillon, Vallet et la Boissière ». Le Département adoptera un fuseau en octobre.

R.Certain

 Repères : 12 000 - Le nombre de véhicules par jour aujourd'hui entre Mouzillon et Clisson dont 1 000 camions. « Essentiellement un trafic local ».

                89 000 - Le nombre de véhicules par jour évalué en 2025 sur le pont de Bellevue sans la liaison structurante. Avec, ce chiffre tombe à 87 500. « La différence est minime ». La preuve, selon Bernard Deniaud, que la structurante n'est pas faite pour désengorger le périphérique nantais.

Bernard Deniaud : « On ne cédera pas à la pression. C'est trop important .

 



 


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